La délibération sur la dotation de fonctionnement des collèges est une occasion pour notre groupe chaque année de faire le point sur la rentrée. Et si le jour de la rentrée 2024, chaque classe avait un professeur, rien n’est réellement réglé.
20 à 25 % des 3 000 postes au concours d’enseignants qui n’ont pas trouvé preneur, manqueront à notre département. Conséquence de cela 1000 contractuels ont été embauchés à la rentrée pour que chaque classe ait un enseignant. Une approche quantitative, donc se félicite la rectrice de l’académie de Créteil, mais qui ne règle rien sur la durée. Pour rappel, l’année dernière, il y avait par jour plus de 600 classes qui n’avaient pas de profs à la fin de l’année.
Il nous faut poursuivre notre bataille pour un choc d’égalité pour la Seine-Saint-Denis. Dans le même temps, au moment où les collectivités vivent une cure d’austérité, nous proposons la sanctuarisation dans le budget 2025 pour les dépenses d’éducation.
Depuis le 10 juin 2024 et jusqu’au 15 novembre, il est possible de faire sa demande de Pass Sport 5ème, l’aide de 100 € destinée aux élèves entrant en 5ème dans un collège public de la Seine-Saint-Denis pour pratiquer une activité sportive.
Le Pass Sport 5ème, qu’est-ce que c’est ?
Une aide départementale de 100 euros pour les élèves de 5ème de Seine-Saint-Denis pour pratiquer une activité physique et sportive dans les clubs et associations du Département partenaires du dispositif.
Pour qui ?
Le Pass Sport 5ème est destiné aux élèves entrant en 5e dans un collège public de la Seine-Saint-Denis et habitant dans le département.
Jusqu’à quand ? Avec qui ?
Pour l’année scolaire 2024-2025, le Pass Sport 5ème est valable du 10 juin au 13 décembre 2024.
Cette aide départementale est valable une seule fois pendant la scolarité de l’élève, pour une ou plusieurs inscriptions chez les partenaires du dispositif : clubs affiliés aux fédérations sportives reconnues par l’État et/ou dans les associations agréées Jeunesse et Sport.
Comment l’obtenir ?
Pour faire la demande, c’est simple, télécharger l’application sur les stores Android et IOS :
Il vous suffira ensuite de créer un compte parent (ou tuteur légal de l’enfant) puis faire la demande pour l’enfant concerné.
*Sont considérés comme justificatif de domicile : facture d’eau, d’électricité, de gaz ou de téléphone (y compris de téléphone mobile), quittance d’assurance (incendie, risques locatifs ou responsabilité civile) pour le logement, titre de propriété ou quittance de loyer (datés de moins d’un an).
Vous êtes un club affilié à une fédération sportive reconnue par l’État ou une association agréée Jeunesse et Sport ? Intégrez le dispositif Pass Sport 5ème ! Pour connaître les modalités d’inscriptions, écrivez à ps5@seinesaintdenis.fr
À partir du 10 juin 2024 jusqu’au 15 novembre 2024, il est possible de faire sa demande du chèque réussite, l’aide de 200 € destinée aux élèves entrant en 6e dans un collège public de la Seine-Saint-Denis pour acheter des fournitures scolaires.
Pour accompagner l’entrée en 6e, le Département propose un chèque réussite.
Qu’est-ce que c’est ? Le chèque réussite est une aide de 200 €, sous forme de bons d’achat (2 bons de 40 euros, 4 bons de 20 euros et 4 bons de 10 euros).
Pour qui ? Le chèque réussite est destiné aux élèves entrant en 6e dans un collège public de la Seine-Saint-Denis et habitant dans le département.
Comment faire la demande ? Pour faire la demande, c’est simple :
Créer un compte parents* puis faire la demande pour l’enfant concerné en joignant un justificatif de domicile**.
Quand ? Les demandes pour l’année scolaire 2024-2025 sont possibles à partir du 10 juin et jusqu’au 15 novembre 2024.
Fin août, début septembre, après vérification du justificatif de domicile et de l’inscription en 6e dans un collège public de la Seine-Saint-Denis, le chèque réussite sera envoyé par courrier au domicile.
Pour acheter quoi ? Où ? Jusqu’à quand ? Le chèque réussite est réservé à l’achat de biens scolaires, c’est-à-dire des fournitures, des livres, des équipements numériques et culturels. Les bons d’achat sont acceptés dans les commerces partenaires, jusqu’au 30 juin 2025.
* Parents ou tuteur légal de l’enfant. ** Sont considérés comme justificatif de domicile : facture d’eau, d’électricité, de gaz ou de téléphone (y compris de téléphone mobile), quittance d’assurance (incendie, risques locatifs ou responsabilité civile) pour le logement, titre de propriété ou quittance de loyer (daté de moins d’un an).
La mobilisation se poursuit pour exiger un plan d’urgence pour l’école en Seine-Saint-Denis.Lors de l’assemblée départementale du 4 avril, la majorité départementale a présenté un vœu pour exiger un plan d’urgence pour l’école en Seine-Saint-Denis et l’abandon de la réforme dite du « choc des savoirs ». Ce vœu a pour but de soutenir et légitimer la demande des parents d’élèves et du personnel de l’éducation nationale. Nous n’acceptons pas que notre département soit sous-doté. Il est inadmissible qu’un enseignant sur deux ne soit pas remplacé dans le secondaire, tandis que le taux de remplacement est de 78% au niveau national.
Et la situation n’est pas prête de s’améliorer en 2025 à l’aune des chiffres de recrutement annoncés pour l’académie de Créteil. À l’instar des académies de Versailles et de Guyane, l’académie de Créteil reste en difficulté pour pourvoir chaque poste et la rentrée 2024 s’annonce compliquée. Des chiffres reconnus par la ministre de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, qui affirme : « Nous savons que nous sommes en difficulté pour le recrutement des enseignants dans certaines académies. » Elle cite l’académie de Versailles et de Créteil où elle annonce devoir recruter des personnels contractuels pour la rentrée prochaine. En effet, il n’a été comptabilisé que 0,71 candidat par poste dans l’académie de Créteil alors que la moyenne nationale est de 1,46, selon le FSU-SNUipp.
Voici l’intervention que j’ai prononcée lors de la discussion sur ce vœu :
À cette situation, s’ajoute la réforme dite « le choc des savoirs » du gouvernement, avec sa mesure phare, les groupes de niveau qui inquiètent élèves, parents et enseignants. Cette réforme est dénoncée par les parents et les enseignants comme passéiste et conservatrice. Elle vise à généraliser le tri des élèves dès le plus jeune âge, notamment avec l’introduction de groupes de niveau en mathématiques et en français pour les classes de 6e et 5e, mais aussi en conditionnant l’accès direct au lycée par la mise en place de classes de seconde préparatoire en lycée général, technologique et professionnel, faisant du brevet une barrière à l’entrée du lycée.
« Le choc des savoirs » est une attaque frontale contre l’école publique. C’est une vision de la société basée sur le tri et l’assignation sociale, dangereuse pour notre démocratie. En effet, un pays où la jeunesse se retrouve assignée à ses positions scolaires et sociales court un grave danger.
Pour ces raisons, je soutiens la mobilisation des parents d’élèves, des élèves et des enseignants contre cette réforme.
À l’occasion de la séance du conseil départemental du 8 février, lors de la discussion sur les politiques régionales de santé, notre groupe s’est adressé à Amélie Verdier, directrice générale de l’Agence régionale de Santé d’Île-de-France, au sujet du manque grave d’Accompagnant.es d’élèves en situation de handicap (AESH) dans notre département.
C’est le sens de l’intervention que j’ai prononcé et que vous trouverez ci-dessous.
La loi du 11 février 2005, qui refondait la politique du handicap au travers « l’intégration scolaire », reconnaissait à tout enfant porteur de handicap le droit d’être inscrit dans l’école de son secteur. Depuis, ce principe a été renforcé par la loi d’orientation et de programmation de 2013. Puis encore par le plan intitulé « Une école de la république pleinement inclusive » en 2018.
Malgré ces différentes lois, la situation de l’école dans le premier et second degré en Seine-Saint-Denis est particulièrement grave en ce qui concerne le nombre d’AESH.
Au 1er septembre 2023, la dotation de la Seine-Saint-Denis en AESH était de 2145 ETP, chiffre qui a triplé en 6 ans. Si le département accompagne de plus en plus d’élèves, ceci n’est pas à la hauteur des notifications administratives, faute de personnel AESH suffisant.
Selon la MDPH, il manque 2500 accompagnant.es d’élèves pour répondre aux demandes. Par ailleurs, le manque de place dans les établissements médico-sociaux n’est pas sans conséquence. Faute de place des enfants qui devraient être en IME se retrouvent en classe ULIS, et des enfants qui auraient toutes leurs places en classe ULIS sont maintenus en classe ordinaire. Comme le rapportait une enquête de la MDPH en mars 2023, 1000 enfants étaient encore en attente d’une orientation en IME, et donc en plein décrochage scolaire du fait de leur handicap.
Une partie du problème se trouve dans un véritable manque de reconnaissance du métier d’AESH qui conduit à manque d’attractivité, menant à la pénurie que nous connaissons.
Il faut un véritable statut des AESH qui passe par :
une revalorisation des traitements avec une reconnaissance de leurs fonctions en catégorie B,
la possibilité de passer d’un mi-temps à un plein temps en travaillant, par exemple, à des conventions avec des collectivités pour le temps périscolaire comme nous l’avons fait à Saint-Ouen
la mise en place de formation tout au long de la carrière
pérennité des lieux des heures d’accompagnements.
Ces revendications s’ajoutent à l’exigence d’un plan d’urgence pour notre département d’environ de 94 millions d’euros pour créer 2 200 places et solutions d’établissements et services pour les enfants.
Ces propositions sont nécessaires pour permettre une véritable « inclusion scolaire ».
Après deux ans de travaux de rénovation menés par le Département de la Seine-Saint-Denis, le collège Alfred Sisley a été inauguré mercredi 6 décembre.
Outre les améliorations en matière de confort, de modernité et de capacité d’accueil, une attention particulière a été portée à la consommation énergétique des bâtiments et à leur adaptation au changement climatique.
Ce mercredi 24 mai 2023, nous avons fait un point d’étape sur l’avancement de la construction du futur collège situé dans le quartier des Docks lors d’une réunion d’information aux habitant.e.s.
Pour répondre à l’augmentation démographique sur la ville de Saint-Ouen qui devrait atteindre 66 000 habitant-e-s d’ici 2030, le conseil départemental a décidé dans le cadre de son plan « Eco-collége », la construction d’un cinquième collège sur notre ville. Le plan « Eco-collège », grand plan d’investissement d’un milliard d’euros pour la construction et la rénovation d’établissements sur tout le département.
Avec ce collège, qui ouvrira ces portes pour la rentrée 2026, nous avons l’ambition d’apporter notre pierre à plusieurs défis politiques de notre siècle.
Notre objectif est à la fois de répondre à la poussée démographique de Saint-Ouen, de la Seine-Saint-Denis et d’accueillir les élèves et les équipes éducatives dans de beaux établissements, modernes, plus arborés, plus verts !
À Saint-Ouen, le futur collège des Docks pourra accueillir 750 élèves. Avec la construction de ce collège, nous avons de fortes ambitions environnementales, avec des bâtiments construits en matériaux biosourcés, une cour de récréation « oasis », des toitures végétalisées…
Le Département a fait de l’éducation sa priorité, et nous sommes convaincu·e·s que la qualité des bâtiments dans lesquels grandissent les élèves a une véritable influence sur leur épanouissement et leur réussite scolaire.
Dans le même temps, comme elue-e-s, et en lien avec la communauté éducative, nous poursuivrons nos actions pour exiger de l’Etat le nombre de personnel suffisant dans les écoles que ce soit pour assurer la sécurité et les activités pédagogiques que pour permettre le remplacement des professeurs en cas d’absence.
Le cinquième collège de Saint-Ouen devrait accueillir :
750 élèves en classes courantes
2 classes d’enseignement spécifique (ULIS et UPE2A)
des espaces partagés culturels : une zone de documentation en accès libre, 12 postes informatique…
des espaces partagés sportifs : un gymnase, un plateau sportif extérieur couvert, une piste de course, un mur d’escalade…
des espaces verts en intérieur et en extérieur
78 emplacements vélos
La livraison est prévue pour septembre 2026.
Avec ce nouveau collège, nous voulons un bâtiment répondant aussi bien aux besoins pédagogiques qu’aux impératifs d’éco-responsabilité. Nous voulons oeuvrer à la réussite des jeunes audoniennes et audoniens .
Vous trouverez ci-dessous le document présenté lors de cette rencontre :
Mercredi 15 février 2023 s’est tenu à Saint-Ouen un rassemblement organisé par le Réseau Education Sans Frontières RESF Saint-Ouen en faveur de Chaka et Mohamed, deux lycéens menacés d’expulsion suite à une décision du Préfet de Seine Saint-Denis
Une centaine de personnes, élus, professeurs, élèves, amis ou voisins se sont retrouvées sur la place de la mairie autour de banderoles réclamant des papiers pour Chaka et Mohamed et affirmant le droit à l’école pour tous les lycéens sans papiers.
De nombreux élus ont tenu à affirmer leur soutien : Monsieur le député Éric COQUEREL, Monsieur le maire Karim BOUAMRANE, Monsieur Yannick TRIGANCE conseiller régional, Madame Sorayah MECHTOUH conseillère régionale et marraine républicaine de Chaka et de Mohamed, Madame Émilie LECROQ, conseillère départementale, ainsi que Monsieur Denis VEMCLEFS, conseiller municipal.
Étaient également présents des membres de l’Association Sportive Sport et Nature du lycée Hector Guimard ainsi que des lycéens très motivés en soutien à leurs camarades.
Malgré la gravité de la situation, ce rassemblement a commencé par un magnifique moment de danse offert à tous et toutes par la chorégraphe Sandrine LESCOURANT accompagnée de danseurs et danseuses de sa compagnie Kilaï. Chacun, participant ou simple passant, était invité à se joindre au groupe et à danser.
Sandrine Lescourant avait eu l’occasion de rencontrer Chaka dans le cadre de sa participation à l’association Droit à l’école. Elle avait ainsi dispensé des cours de français à Chaka au moment du confinement et depuis lors ils sont restés proches.
Ensuite deux membres de RESF Saint-Ouen ont pris la parole pour tout d’abord exposer le cadre général de ce rassemblement : les difficultés d’accès aux guichets des préfectures, les longs délais d’attente et le durcissement des politiques d’accès au droit au séjour qui conduisent à « la fabrique de sans papiers ». Puis, a été présenté le détail des décisions de refus et Obligation à Quitter le Territoire Français (OQTF), adressés à Chaka et à Mohamed. Car ces décisions ne tiennent aucun compte de leur situation personnelle d’élèves en cours de scolarité, préparant des métiers ouvriers, soutenus par des employeurs près à les embaucher en contrat d’apprentissage, et entourés de proches ou de membres de leur famille durablement installés en France.
Enfin les élus tour à tour ont pris la parole pour rappeler leur engagement pour cette cause et dénoncer des mesures qui nient les droits fondamentaux de jeunes lycéens parfaitement insérés dans notre pays.
L’ensemble des personnes rassemblées ont terminé ce moment en clamant haut et fort : « Non aux OQTF, oui au droit à l’école ! Chaka Mohamed régularisation ! Solidarité avec les sans papiers ! La famille ça compte, les études ça compte, régularisation ! ».
Ce rassemblement a permis de montrer publiquement la solidarité envers ces deux jeunes et il vient s’ajouter aux interventions, témoignages et pétitions en leur faveur déjà envoyés au préfet de Seine Saint-Denis et demandant l’abrogation des OQTF qui les frappent.
Communiqué de Réseau Éducation Sans Frontières Saint-Ouen
⚠️Pour poursuivre la solidarité et permettre à Mohamed de construire son avenir en France, n’hésitez pas à signer : https://reseau-resf.fr/2317
(Un mail de confirmation vous sera envoyer afin de confirmer votre signature en ligne)
Sur proposition des élu-e-s du groupe « Communistes, insoumis et citoyens », le conseil département de la Seine-Saint-Denis prête des ordinateurs reconditionnés à des collégien·ne·s.
Lutter contre la fracture numérique aux côtés des familles et donner une deuxième vie au matériel informatique, tels sont les objectifs de l’opération de prêt d’ordinateurs reconditionnés aux collégien·ne·s de Seine-Saint-Denis lancée au collège Raymond-Poincaré à La Courneuve et dans 9 autres établissements de Seine-Saint-Denis. Nos 130 collèges en bénéficieront, à raison de 15 terminaux par établissement.
Avoir un ordinateur est devenu indispensable pour les collégiennes et les collégiens, que ce soit dans leurs apprentissages mais aussi pour le suivi de leur scolarité par leurs parents. C’est pourquoi le Département agit pour réduire les inégalités liées à l’accès à un équipement informatique.
En plus du soutien essentiel du « chèque réussite » de 200€ proposé aux élèves de 6ème et qui permet à leur famille de s’équiper, le Département expérimente cette année un nouveau dispositif de prêts d’ordinateurs dans plusieurs établissements, comme au collège Raymond Poincaré à La Courneuve. Nous nous y sommes rendu·e·s ce jeudi avec Zaïnaba Saïd Anzum et Stéphane Troussel, pour remettre une dizaine d’ordinateurs à des collégien·ne·s qui n’en disposaient pas.
Récupérés dans des établissements où ils ne servaient plus, ces ordinateurs ont été confiés dans un premier temps à des étudiant·e·s des filières professionnelles de l’environnement au Lycée Jean-Pierre Timbaud à Aubervilliers, afin qu’elles et ils remettent à neuf ce matériel tout en se formant au reconditionnement d’équipements numériques. Un engagement pour améliorer le recyclage et pour la transition écologique
A cette occasion, les étudiant·e·s ont ainsi pu expliquer aux collégien·ne·s comment utiliser ce matériel que le Département leur confie jusqu’à leur départ du collège !
Le conseil départemental a acté 2 décisions fortes pour oeuvrer à la réussite de toutes et tous :
nous recentralisons le coût des dépenses de chauffage liées au gaz pour que cette dépense qui explose ne pèse pas sur le budget des établissement. Ainsi, dans les établissements, les directions n’auront donc pas à choisir entre payer ces factures et mettre en place des projets pédagogiques. Le Département provisionne dore et déjà près de 12 millions €, au lieu de 3.5 millions €, pour le gaz et plus de 9 millions pour l’électricité, soit le double que dans le budget précédent, déjà recentralisé en 2018.
Nous gelons les prix de la restauration scolaire malgré l’augmentation du prix des denrées. Ainsi, les familles n’auront pas à payer plus cher pour assurer un repas complet et équilibré à leurs enfants pendant la pause méridienne. Pas question que les ménages supportent la hausse de ces prix alors que les dépenses du quotidien explosent.
Voici mon intervention pour soutenir ces décisions: